L'homme marchant seul est bien ironique,
Sous ses vestons indéfectibles.
Ses comparses, aux têtes obliques,
Dépassent celles au soi-disant sexe faillible.
L'imposition suprématiste de ceux-là,
Le met dans un panier pourri d'or
Avec un joli coussin feutré et délicat.
Il marche seul, mais ne sort réellement dehors.
Dans son confort quasi-juridique,
Il a été remplacé par une machine,
Incapable de penser, d'être critique.
C'est bien l'ironie la plus maligne !
Celui-là ira mourir tout seul,
À submerger ces demoiselles
De subterfuges pour les sans-gueule
Et concubins mensonges pour les belles.
Il apprendra que l'amour n'est pas décédé
Lorsqu'il a trompé, mais a été violé.
Tout ce qui monte, redescend,
Dans ce serpents et échelles vivant.
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