samedi 17 juin 2017

Petitesse

Il y a de ces sciences inexactes
Dans les astres lointains
Près des étoiles primordiales
Où n'existent plus les mondains
Ni les luxueuses actes.

C'est cette lumière infinie
Du plus profond cosmique
Qui nous emplisse et qui s’immisce
Dans nos corps comiques
Pour cet univers indéfini.

Si les amours sont dignes
Des sublimes supernovæ
Qui détonnent et résonnent,
Les superficiels seront parias,
Et qu'ils s'y résignent.

La simplicité stupide
Ne peut s'auto-suffire réellement.
Il est néfaste sous les cieux vastes,
Il pollue de son entropie, démontrant
À l'infini son plaisir cupide.

Les lumières des millénaires ancestraux,
Qui embellissent et illuminent,
N'auront que faire de ces êtres à taire ;
Leur réflexion se perdra sûrement
Dans les vides intersidéraux.


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