vendredi 23 septembre 2011

Vieilles pensées

Quatorze années que j'ai vécues sans ta présence,
Et quelques autres vécues avec quelque jouissance,
Une douleur accablante qu'a subie ma jeunesse,
Et cette beauté sans égale que j'appelle ivresse.

Une succube amicale sans égale que j'ai vue,
M'a d'abord arraché mon cœur de dépourvue,
Et sous promesses de bonne foi est née amitié,
Qui était censée durer pour l'éternité.

Mais les passions se sont retournées contre nous,
Et mon seigneur je le jure que ce vent fut doux,
Amour j'ai obtenu, amour j'ai regretté,
Amour qui m'a obligée à fuir ta beauté.

Contrainte à devoir rejeter cette perfection,
J'aspire à la folie avec telle privation,
Mon cœur abondant qui coule, et coule comme le Rhin,
Aura pour toutes ses dures souffrances pleuré en vain.
 
Old thoughts

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