Déjà trois heures, perdue sur le sol,Avec tous mes sens qui s'affolent,Je te regarde de loin, avec un autre joint.
Je me demande, la tête trop légère,Comment tu fais pour fumer l'universEn un seul souffle, sans que tu t'étouffes ?
Parce que quand tu aspires la fuméeIl ne reste plus rien pour nous séparer,Juste mes lèvres à moi, et celles à toi.
Il n'y a plus rien à manger, sauf ton corpsQui reste encore debout, à la fumée dehors,Même avec ma tête entre tes cuisses, un autre supplice.
Donne-moi une autre bouffée d'euphorieQui s'échappe de ta bouche qui sourit,Pour taire la nuit, taire nos esprits.
Déjà trois heures, perdue sur le sol,
Avec tous mes sens qui s'affolent,
Je te regarde de loin, avec un autre joint.
Je me demande, la tête trop légère,
Comment tu fais pour fumer l'univers
En un seul souffle, sans que tu t'étouffes ?
Parce que quand tu aspires la fumée
Il ne reste plus rien pour nous séparer,
Juste mes lèvres à moi, et celles à toi.
Il n'y a plus rien à manger, sauf ton corps
Qui reste encore debout, à la fumée dehors,
Même avec ma tête entre tes cuisses, un autre supplice.
Donne-moi une autre bouffée d'euphorie
Qui s'échappe de ta bouche qui sourit,
Pour taire la nuit, taire nos esprits.
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