Dans ta poudrerie asphyxiante,
Dans ta gendarmerie incompétente,
Brûle tes racines qui t'empêchent de fuir en panique.
Ton brave soldat policier joue à cache-cache.
Un, deux, trois, il extermine des rats.
Quatre, cinq, son fusil se crinque.
Six, sept, huit, le pétrole a une fuite.
Neuf et dix, prêt pas prêt, explose l'armistice.
C'est un peu le comble, pour être franc,
De construire une oligarchie simplement basée
Sur des fondements aussi saints que la stupidité
Et de se proclamer divin en affirmant qui est le méchant.
Brûle, brûle, la belle Amérique,
Dans ta chute épatante,
Dans ta vaine propagande,
Brûle, personne ne viendra sauver tes fanatiques.
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